vendredi, janvier 25, 2013

Rue Mandar


Pas très convaincue par ce n'importe quoi autour des liens familiaux qui se tissent, se défont ou se recréent à l'occasion d'un deuil; le tout est décousu et l'individualité des trois comédiens et comédiennes connus nuit au sentiment de fratrie;Sandine Kamberlain ne se renouvelle pas et campe un personnage attendu quant aux moues d'Emmanuelle Devos je ne suis toujours pas fan.... Ni comédie, ni drame, ce film qui joue à nouveau sur l'originalité de l'appartenance à une culture yiddish parisienne ne touche ni n'émeut.

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