jeudi, mars 17, 2016

Au Nom de ma fille

Vincent Garenq, réalisateur de Présumé coupable (que je n'ai pas vu), dénonce à nouveau le système judiciaire en relatant l'affaire Bamberski pour laquelle un père mettra 27 ans à obtenir justice pour le meurtre de sa fille . Un parti pris qui nuit à l'intérêt cinématographique car cette vision très monolithique du drame vu par le personnage du père dont la douleur va tourner à l'obsession ne laisse guère de champ à l'imaginaire. La facture est classique et Daniel Auteuil joue avec justesse mais sans nous surprendre.Le tout correspond bien au projet du réalisateur qui voulait « une esthétique sobre pour faire oublier qu'on est au cinéma ».....

1 commentaire:

susane a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.